vendredi 13 décembre 2013

Introduction au programme de formation en santé mentale

jeudi 12 décembre 2013

Prématurité et petit poids de naissance

Les maladies non transmissibles en Afrique

jeudi 5 décembre 2013

HTA et ses facteurs de risques selon l’approche STEPwise de l’OMS

jeudi 28 novembre 2013

La douleur aux urgences

  • Enseignant: Dr Caroline Andriamasy (Madagascar)
  • Date et heure du cours: Jeudi 28 Novembre 2013 à 10h00 GMT
  • Lien pour accéder au cours:
    http://raft.unige.ch:80/dudal/apps/jws/uiclient?id=900011
  • Résumé: La douleur est un symptôme très fréquent en médecine d’urgences. L’objectif de notre travail est d’apprécier l’évaluation de la douleur dans le but d’évaluer la pratique professionnelle et de discuter des modalités de cette prise en charge dans le service. Il s’agissait d’une étude rétrospective réalisée dans un service d’accueil des urgences chirurgicales du centre hospitalier universitaire allant du 11 Novembre 2012 au 06 Décembre 2012. La fréquence des patients douloureux admis est estimée à 83,2% (n=2631). Parmi les patients douloureux, 10,6% des patients (n=278) ont eu une évaluation correcte de la douleur. L’âge moyen de ses patients évalués est de 28,2 ans ± 16,8ans. Les motifs d’admission étaient largement dominés par les traumatismes qui étaient de 66.9% (n=186). L’échelle numérique était utilisée 240 fois (86.7%) ; 87.1% (n=242) des patients bénéficiaient de traitement antalgique médicamenteux ; 59.9% des médicaments utilisés (n=156) étaient administrés en monothérapies (46.3 % de Paracétamol), la morphine était indiquée chez 2,3% des patients traités ; 47.1% (n=131) ont bénéficié d’une analgésie multimodale, et 10.1 % (n=28) étaient réévalués après traitement. A travers cette étude, nous avons pu voir que la prise en charge de la douleur nécessite encore d’être améliorée sur plusieurs points ; elle est surtout freinée par le manque de personnels, la charge de travail et le plateau technique déficient.

Cancers des maxillaires en milieu Africain

jeudi 21 novembre 2013

Embolie pulmonaire: aspects cliniques, para-cliniques et thérapeutiques

Le rhumatisme articulaire aigu de l'enfant

jeudi 14 novembre 2013

Prise en charge de l’épilepsie

Insulinothérapie en pratique

jeudi 7 novembre 2013

Conduite à tenir devant un asthme aiguë grave

jeudi 31 octobre 2013

Drépanocytose au Sénégal

Situation épidémiologique du paludisme dans le monde: avancées et chalenges

jeudi 24 octobre 2013

Prise en charge du spina bifida

jeudi 17 octobre 2013

Le Réseau Global Heart

  • Enseignant: Annabel Lavielle (USA et Suisse)
  • Date et heure du cours: Jeudi 17 Octobre 2013 à 10h00 GMT
  • Lien pour accéder au cours:
    http://raft.unige.ch/dudal/apps/jws/uiclient?id=899828
  • Remarque d'Antoine Geissbuhler: ce cours est en fait une brève présentation d'environ 5 minutes d'une nouvelle plateforme visant à faciliter les synergies pour des activités de chirurgie cardio-vasculaire dans les pays en développement. Malheureusement, la fondatrice de ce réseau, Annabel Lavielle, ne sera pas disponible pour intervenir en direct durant ce cours, car elle se trouve encore en Californie. Merci de bien vouloir utiliser le fil de discussion dans Dudal pour faire part de vos remarques et suggestions concernant ce type d'approche et de l'intérêt qu'il pourrait représenter dans votre contexte, qu'il s'agisse du domaine cardio-vasculaire ou d'autres domaines où la mutualisation de ressources est importante. En effet, nous réfléchissons aussi à étendre ce concept à d'autres domaines.

Pronostic néonatal de l’accouchement du deuxième jumeau à l’Hôpital Universitaire Gynécologie Obstétrique Befelatanana

  • Enseignant: Dr Joël Rakotondraisoa (Madagascar)
  • Date et heure du cours: Jeudi 17 Octobre 2013 à 09h00 GMT
  • Lien pour accéder au cours:
    http://raft.unige.ch:80/dudal/apps/jws/uiclient?id=899862
  • Résumé du cours: Objectif : L’accouchement gémellaire est un accouchement à haut risque surtout pour le deuxième jumeau (J2) dont la mortalité périnatale est majorée. Notre objectif était de déterminer le pronostic néonatal du deuxième jumeau. Matériel et méthodes: Il s’agit d’une étude rétrospective et analytique à l’HUGOB, allant du 1er janvier au 31 décembre 2011. Elle concerne les grossesses gémellaires accouchées par voie basse avec un âge gestationnel supérieur à 28 semaines d’aménorrhées. Résultats : La fréquence des grossesses gémellaires qui ont subi l’accouchement par voie basse était 1,38 %. La moyenne d’âge des gestantes était de 27, 26 ans. Notre taux de prématurité était de 40,17 % avec un âge gestationnel moyen de 34 semaines d’aménorrhées. 93,16 % avait accouché par voie basse, dont 32,48 % associé à des manœuvres obstétricales. L’intervalle entre les naissances de J1 et J2 était en moyenne de 28,7 minutes. Le poids moyen était de 2132g. La morbidité néonatale est dominée par l’asphyxie néonatale (17,94 %). La mortalité néonatale était de 11,97 %. Les complications fœtales sont en relation avec le poids fœtal (P = 2.10-9) et l’âge gestationnel (P = 6.10-6). Conclusion : La prématurité et l’hypotrophie représentaient les premières causes de morbidité et de mortalité de J2. La méthode active dans l’accouchement du deuxième jumeau mérite d’être encouragée. Une prise en charge multidisciplinaire entre néonatalogies et obstétriciens est à suggérer.

jeudi 10 octobre 2013

Prise en charge du paludisme grave

Diabète et infections: particularités en Afrique sub-saharienne

jeudi 3 octobre 2013

Conduite à tenir devant une suspicion de torsion testiculaire

jeudi 26 septembre 2013

Traitement de l'embolie Pulmonaire au CHU-Yalgadogo OUEDRAOGO

jeudi 25 juillet 2013

Conduite à tenir devant une douleur du sein

La  pédagogie par ‘’ l’approche par compétence’’  comme alternative dans la formation en santé

jeudi 18 juillet 2013

Les accidents de plongées

Humanisation de soins maternels et néonataux

jeudi 11 juillet 2013

Prise en charge de l'acido-cétose

Diabete et Infection à VIH: Quels mecanismes de survenue?

jeudi 4 juillet 2013

Cardiopathie Ischémique : diagnostic et prise en charge

jeudi 20 juin 2013

Le syndrome néphrotique

Ostéoporose

jeudi 13 juin 2013

Asthme de l'enfant et du nourrisson

Insulinothérapie chez les diabétiques de type 2

  • Enseignant: Prof. Anna SARR (Sénégal)
  • Date et heure du cours: Jeudi 13 Juin 2013 à 09h00 GMT
  • Lien pour accéder au cours:
    http://raft.unige.ch:80/dudal/apps/jws/uiclient?id=899686
  • Résumé: L'insuline sauve la vie des diabétiques de type 1 et permet aux diabétiques de type 2 de bien contrôler la maladie. Ce cours en précise les indications.

jeudi 6 juin 2013

Echographie du 1er et 2e trimestre de la grossesse

La rage, une pathologie ancienne, des nouveaux défis

jeudi 30 mai 2013

Pied et Diabète:projet DAFI

jeudi 23 mai 2013

Hypertrophie bénigne de la prostate: diagnostic et traitement

Radiologie des urgences traumatiques des membres: notions fondamentales pour le praticien

jeudi 16 mai 2013

La prise en charge transfusionnelle de la gestante drepanocytaire

jeudi 9 mai 2013

Prise en charge de la crise vaso-occlusive de drépanocytaire et de ses complications

Un régime pour les patients diabétiques sous insuline

jeudi 2 mai 2013

Les démences

Infection à VIH du 3eme âge : analyse des aspects épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques

jeudi 25 avril 2013

Les hépatites virales (b, c) : diagnostic et traitement

Prise en charge de la crise aigue drépanocytaire en Anesthésie réanimation

jeudi 18 avril 2013

Lombalgies et lombosciatique

Méningite et suppurations intracrâniennes récurrentes

jeudi 11 avril 2013

La prise en charge nutritionnelle

La neuropathie diabétique : aspects diagnostiques et thérapeutiques

jeudi 4 avril 2013

Recommandations de l'OMS sur le traitement avec les ARV en Afrique

jeudi 28 mars 2013

Expérience d'élimination de TME de VIH a l'unité mère-enfant de l'Hôpital Régional de Moundou

jeudi 21 mars 2013

Aspects épidémiologiques des cancers du sein

La prise en charge de la dénutrition du sujet âgé

jeudi 14 mars 2013

VIH , prévention de la transmission mère enfant

Le pied diabétique : aspects préventifs

jeudi 7 mars 2013

Un cas de pseudo kyste surinfecté compliquant une pancréatite aigüe sévère

  • Enseignant: Dr HARIOLY Nirina (Madagascar)
  • Date et heure du cours: Jeudi 07 mars 2013 à 10h00 GMT
  • Lien pour accéder au cours:
    http://raft.unige.ch:80/dudal/apps/jws/uiclient?id=899493
  • Résumé du cours: Objectif : Seules 20 p.100 des cas de pancréatite aigüe sévère vont évoluer dans des formes compliquées. D’après la Conférence d’Atlanta 2 types de complications sont décrites. L’une précoce durant les 14 premiers jours se manifestant par une réponse inflammatoire exagérée aboutissant à une défaillance multiviscérale. L’autre tardive entre la deuxième et la troisième semaine d’évolution par surinfection de nécrose intéressant 40 à 70p. 100 des cas sévères. Ce cas clinique permet d’identifier les points clés du diagnostic et du traitement puis déterminer la place de l’antibiothérapie dans la prise en charge actuelle de la pancréatite aigüe sévère. Observation: Il s’agissait d’un homme de 38 ans référé pour épigastralgie transfixiante, diabétique non insulinodépendant, éthylique majeur. A l’entrée il présentait un tableau de déshydratation intracellulaire secondaire à une hyperosmolarité plasmatique (Glycémie: 43,8 mmol/L, Natrémie: 153 mmol/L, Kaliémie: 3,8 mmol/L) avec un bon état hémodynamique et une diurèse conservée. Le reste des examens cliniques était sans particularité. La biologie des premières 24 heures révélaient une lipasémie à 615 UI/L, une Hypertransaminasémie (ASAT: 33; ALAT: 43), une hyperazotémie à 6 mmol/L avec hypercréatininémie à 91 µmol/L. Le scanner réalisé à J3 d’hospitalisation montrait un kyste du pancréas. La confrontation des arguments cliniques, biologiques et tomodensitométrique était en faveur d’une poussée de pancréatite aigüe. A ce stade de la maladie notre prise en charge n’était qu’à visée symptomatique. Mais l’apparition d’un état fébrile à J5 d’évolution appuyée par une élévation du CRP nous orientait vers une surinfection de liquide intrakystique ou une extension de nécrose. Ce qui nous amenait à instaurer une triple antibiothérapie probabiliste associant imidazolé-quinolone-aminoside, aussi de décider d’une laparotomie à type de dérivation kysto-pancréatico-digéstive. Conclusion : Poser le diagnostic de PA sévère n’est pas toujours une évidence médicale. Si le dosage du CRP est prédictif de sévérité ; l’examen tomodensitométrique est un élément clé du diagnostic. La place de l’antibiothérapie varie selon les écoles contrairement à la chirurgie dont l’indication est restreinte. Dans tous les cas, il faut privilégier une nutrition entérale précoce.

La cellule cancéreuse

jeudi 28 février 2013

Pharmacologie des Médicaments anti-Paludéens

jeudi 14 février 2013

L'infection bactérienne du nouveau-né

Le diabète en périopératoire

jeudi 7 février 2013

Pancréatite Aigue Grave (PAG)

Aspects epidemio-cliniques des urgences cardio vasculaires vues a l’USFR de Cardiologie et USIC CHU JRB Antananarivo

  • Enseignant: Dr RAVELOSON Haingoarivony Freddie (Madagascar)
  • Date et heure du cours: Jeudi 07 Février 2013 à 09h00 GMT
  • Lien pour accéder au cours:
    http://raft.unige.ch:80/dudal/apps/jws/uiclient?id=899425
  • Résumé du cours: Les urgences cardio-vasculaires constituent un facteur de morbidité et de mortalité important qui occasionnent une dépense financière énorme. La nature et l’importance de ces urgences cardiovasculaires restent encore mal connues à Madagascar. Notre objectif est de déterminer le profil des urgences cardiovasculaires à Madagascar. Il s’agit d’une étude rétrospective descriptive sur une durée de 1 an allant du 1er janvier 2010 au 31décembre 2010. Elle s’est entièrement déroulée à l’USFR cardiologie et USIC du CHU-HJRB. Nous avons colligé 124 urgences cardiovasculaires, elles représentaient 15,73% des pathologies cardiovasculaires et 10,39% des motifs d’hospitalisation. L’âge moyen était de 58,5 ans avec des extrêmes allant de 19 à 92 ans. La tranche d’âge la plus affectée était de 55 à 60 ans. Le sex ratio était de 0,92. Les facteurs de risques cardiovasculaires étaient dominés par l’hypertension artérielle qu’elle soit personnelle (34,72%) ou familiale (16,98%), suivi par le tabagisme (15,09%). Le SCA ST + constituait le principal urgence cardio-vasculaire avec un taux de 33,87% suivi par l’AVC ischémique (27%). La symptomatologie était dominée par la douleur thoracique 35% suivie par le déficit moteur d’un hémicorps (15%). Enfin, la durée moyenne d'hospitalisation était de 7,5 jours et nous avons déploré 14,52% de décès.

jeudi 24 janvier 2013

Diarrhée liquidienne de l'enfant

jeudi 17 janvier 2013

 Asphyxies néonatales

Diabète du sujet âgé